Les héros continuent à faire des leurs !

*un chibi ban cogne Ajite*

"Parceque Dae et moi avons l'air d'aller bien ? Y a une différence entre être courageux et surestimer ses forces !"

et pour que Ban parle ainsi, c'est qu'il va vraiment pas bien !

*le chibi Ban connait une fin tragique écraser malencontreusement par un démon invoquer par Ajite*

C'est vrai que vous étes pas en pleine forme.

*a LSDE*
Il seront sur pied dans combien de temps.

"Moi y me faut beaucoup, mais vraiment beaucoup d'énergie ou alors un baiser d'une jolie PJ."

*petite pause*

"Ah oui et sortez mon pied de ma tombe, aussi"

Sois content, toi tu n'y as qu'un pied...

*imagine Dae avec le pied gauche et le bras gauche réellement dans une tombe*...pas pratique !
*continue à soigner Ban*
Désolé Ajite, Ban demande effectivement pas mal de soin, et Dae pas mal de repos encore.
*chuchote :* quant à toi Ban, tu préfèrerai pas une jolie baffe plutôt qu'un baiser ?...
...oh et puis remet toi vite, et t'en aura un tien ! Parce que c'est pas tout de traîner tes savates dans des tombes, mais Naru coure toujours, et ses jumeaux aussi !
[je précise que SDE pense à un bisou sur le front, maximum, mais qu'elle se garde de le dire afin de motiver Ban ! ]

_"Bon, alors attend un peu, j'ai une fiole dans ma poche gauche de ma chemise, t'as qu'à la prendre et me la verser dans un verre..."

*alors que LSDE se penche pour prendre la dite fiole Ban se redresse et l'embrasse*

_"Ah ouais t'as pas mauvais gout en fait..."

*évite des coups de fusil*

*parvient difficilement à se relever*

Ouille... CA fait un peu mal mais je peux marcher. Ban, tu peux te lever ou tu joue encore la comédie dans l'espoir qu'on te fassu du bouche à bouche?

*saute à côté de Daemon's*

_" Je l'ai eu mon bouche à bouche, du coup je pète la forme ! Tu devrais essayer un de ces jours, il parait que Marie Antoinette a de très beaux restes...MWA HA HA HA HA HAH"

SDE bouillonne en arrière-plan... mais parvient on ne sait comment à se contenir (oui, ya une différence entre abattre froidement Ban et le faire courir ...même si le but du jeu n'est pas que celui-ci saisisse la nuance). En fait, elle sait qu'on a besoin de combattants face à Naru... mais dès qu'il sera OFF, oh pu**** ça va ch*** !!!! C'est cette idée qui arrive à la contenir !
D'une voix glaciale :
_Bon ben si tout le monde va bien (pour l'instant.....) on pourrait peut-être se bouger le cul (avant que je m'occupe sérieusement de botter le sien...) ? *bizarrement, même en parlant, elle garde la tête baissée, les poings serrés, et... ne regarde surtout pas Ban. Elle va même totalement l'ignorer en se calmant progressivement (= elle relève la tête et semble moins penser au meurtre barbare ! ) et faire comme s'il n'existait pas... Toujours sans le regarder cependant (pas encore assez calme pour ça). Tout ce changement se produit alors qu'elle continue à parler :*
_Comme je vous le disais tout à l'heure, j'ai découvert une autre planque. Mais je ne sais pas où elle est. Je sais c'est paradoxal, mais je sais quand même m'y rendre : faut se téléporter. Ce qui m'ennuie c'est que je voudrais emmener le vaisseau, il servira sûrement, ne serait-ce que pour repartir par exemple, or pour ça, il faut encore perdre du temps pour que je crée ce qu'il faut pour qu'il nous suive. Moins d'une demi-journée, mais quand même. Ca permettrait ...à Dae de se reposer par contre ; à toi aussi Ajite, tu semble vidé. Je pense pas que ce soit une mauvaise chose d'emmener le vaisseau au prix d'un repos forcé mais nécessaire.
Alors ?

_mmh, je me demande si ses 754 goules, là, y'aurait pas moyen de les manipuler... Hein ? oh non, je pensais à rien d'autre, j'attends vos avis ! de toute façon, s'ils veulent partir de suite, je les envoie en éclaireurs pendant que je modifie le vaisseau. ...au fait, "elles" me doivent un service à Mont-Rouperdu, ça serait l'occasion de vaincre le mal par le mal... et puis si je leur dit à quel point il est pervers, elles voudront se mesurer à lui de toute façon...
mh ? *porte la main à sa bouche et regarde ses doigts* mais ce con m'a mordu dans sa précipitation en plus ?!

_ Ca me semble être une bonne idée, il me faudra au moins une demi-journée pour établir une stratégie pour pouvoir être sur d'abattre Naru avec mon DRAGON et pas un de ses clones pourris...

*s'assied en tailleur et commence à faire des bruits bizarres*

regarde Ban en tailleur, les yeux fermés... ou plus exactement elle fixe intensément sa gorge nue, et jette des coups d'oeil furtifs au sabre de Dae, à côté de Ban...

Hum ! Bon au boulot !Fais demi-tour, et va vers le vaisseau... qui se trouvait pas très loin en fait, le clone avait du les en rapprocher pendant le combat.

*dés que LSDE a le dos tourné, Ban se saisit du sabre de Dae et le lance sur LSDE... les vêtements de cette dernière ne supportent pas l'impact... dommage*

_ miam !

on entend un grand cri, et Ban se retrouve instantanément, certes avec une jolie vue rapprochée, mais surtout avec SDE assise sur lui, en train de l'étrangler, et avec un regard de furie.
-Rhaa jvais le tuer, le massacrer, en faire de la chair à patée, mais laissez-moiiii !!!!!!!
En effet, l'un des deux autres la tire en arrière pour les séparer (non, pas "par derrière" Ban, ça c'est ce que toi tu ferai or t'es devant moi, étranglé !! )
SDE se débat pendant 2-3 minutes avant de penser à se rhabiller... et à tenter de réaggresser Ban ! Malheureusement, on l'empêche encore de faire oeuvre de salut mondial...

petite question pour voir si vous suivez : Ban a-t-il cet air "extasié" parce qu'il a manqué d'oxygène depuis sa naissance, euh depuis l'étranglement, ou parce que SDE était en plan rapproché ?...

Hs Bah Ban, il matait et s'occupait pas du reste, il a tous ses pouvoirs au max alors pas grand chose ne peut le tuer... donc il en profite ! FHs


*range son appareil photo*

_On pourrait tenter de corrompre Naru en lui offrant SDe en sacrifice ?

*retient LSDE*

Ca pourrait marcher mais je pense pas que LSDE soit d'accord.

A moins que je me trompe?

_Est-il indispensable de lui demander son avis ? Oui ? Bon, on va trouver autre chose, alors...

*a toujours de fortes envie de meurtres sur Ban*
_On peut même pas t"offrir" toi, personne n'en voudrai d'un biiiiiiiiiiiiiiip pareil !! Ajite, lâche-moi, je vais lui faire sa fête ! J'suis presque contente qu'il soit rétablie, je pourrai le torturer plus longtemps !
...Mais lâche-moi quoi !
*SDE se retrouve enfermée dans le vaisseau, avec pour mot d'ordre "Travaille, on n'a pas que ça à faire !"*

mmh, je me téléporte dehors ? ...Bah, c'est vrai qu'on a pas que ça à faire...
dommage...i' perd rien pour attendre
*se met à bosser sur les modif'*

*a coté de LSDE*

Bon elle est calmée, voyons quelle attaque pourrait tuer Naru, réfléchissons.

Un vent glacial soufflait sur les pleine enneigées de Schneeis. Aucun bâtiments alentours ne donnaient signe de vie, sauf une petite chaumière au bout de l’allée Stäuber dont les fenêtres largement éclairées faisaient danser sur le sol, de longues traînées de lumières fantomatiques. Le ciel noir encré pétillait d’étoiles lumineuses, et seul le toit de la maisonnette était entouré d’un épais manteau de fumée qui sortait de la cheminée oblique. D’énormes flocons s’écrasaient sur le village tapissant un peu plus les toits d’une peinture blanche et froide. Il n’y avait aucun bruit alentours excepté le sifflement strident du blizarre qui s’infiltrait dans les maisons par les fenêtres défoncées et les portes qui pendaient lamentablement aux bout de leur gons. Une personne seine d’esprit n’aurait jamais osée s’aventurer dans les pleines de Schneeis, car tous le monde savait que même si le village fut un temps habité, aujourd’hui il n’y avait plus que des étendus de neige désertes et froides. Quiconque aurait voulut s’aventurer dans les pleines allemandes, pour faire un peu de ski, aurait payé du bout de son nez, de ses doigts et de ses orteils, le prix d’un séjour même fut-il court dans ses contrées ; car le froid y été si griffant et écorchant, que même vêtu du plus épais manteau de fourrure de l’univers, un ors polaire couvert lui-même d’une fourrure déjà bien touffus, n’aurait pus rentrer chez lui le corps intacte et ses membres extérieur encore vivants. Et pourtant, on le sentait bien à la chaleur qui se dégagée de la chaumière pentue, quelqu’un avait prit le risque de rester ici et de vivre parmi les morts, pour tenir… un commerce.
Au loin dans le ciel noir une silhouette mouvante commençait à se découper rapidement. La vitesse avec laquelle elle approchait témoignait de sa rapidité, surtout en lieux hostiles comme les pleines de Schneeis. Derrière le rideau de gros flocons, la silhouette avait une forme bien étrange : on eut dit une voiture, mais elle était trop basse pour qu’il en fut une ; on eut dit un ors, mais elle était trop large et basse pour qu’il en fut un ; on eut dit… un traîneau. C’était un large traîneau bleu frappé d’un écusson en forme d’hippocampe. Il était tiré par deux puissants chevaux blanc à la crinière argenté, et dont les flancs étaient couverts de deux grandes ailes. Le martèlement des sabots des chevaux sur la neige accompagnait le cri du vent. Le traîneau arriva bientôt à hauteur de la maisonnette éclairée où, devant la porte, un petite homme bossu attendait pitoyablement, une lanterne en bout de bras. Il avait un visage grimaçant et même dans mes cauchemars les plus laids, je ne me souvient avoir vu pareille visage. On eut dit qu’il eut était sculpté par un aveugle incapable de voir ce qu’il créait : sa bouche tordue, ses yeux in symétriques et son nez n’était plus qu’une seule narine. Contrairement au bossu, la jeune personne qui était assise à l’arrière du traîneau, détenait une beauté qu’on eut dit inégalable. C’était une jeune fille aux longues boucles rousses et au visage blanc comme neige. Ses yeux claires fixaient d’un air hautain le bossu. Elle tenait entre ses bras une couverture qu’elle resserra contre son manteau de fourrure grise. Un charme impérial se dégageait vaguement de la jeune demoiselle. Elle jeta un regard à l’avant du traîneau, où un petit homme était assit et elle dit violemment. :
- Hier erwarten Sie mich!
Puis gracieusement, comme si aucune tempête de neige ne l’entourait, elle descendit, et mit pieds à terre.
Le bossu s’avança et sourit du mieux qu’il pus pour accueillir cette jeune femme.
- Dame Riku, on ne vous attendez pas si tôt. Soyez la bienvenue à Schneeis !
La demoiselle jeta un regard supérieur à l’homme devant elle, et fit mine de sourire poliment.
- Je n’ai pas de temps à perdre. Menez-moi à votre patronne !
- Heu, excusez-moi Princesse mais…Qu’est-ce ?
Il pointa un doigt maigre vers la couverture que Riku avait entre les bras et sourit, gêné. D’un air exaspérée, la jeune fille ôta un pant de la couverture, de la chose qu’elle abritait et le visage angélique d’un petit enfant âgé de trois ans, apparut. Il dormait paisiblement et même le froid n’y pus rien changer.
- Seigneur Haku, quel merveilleuse nouvelle de le voir en si bonne forme.
Beugla le bossu, puis il ajouta comme pour être sûr :
- Ce n’est pas pour lui que vous venez, n’est-ce pas ?
- Bien sûr que non ne soyez pas idiot ! Faites ce que je vous dit, menez-moi à votre patronne !
Le petit homme approuva et se dirigea à petites foulées vers la porte de la chaumière, au dessus de laquelle, se balançait une pancarte où était inscrit :

*une vague psychique frappa Ban qui se mit à vomir sous le choc*

_Bord*l... c'est une blague... c'est vraiment pas le moment...Bon, je ferais mieux de ne rien dire aux autres...

*se rend compte qu'il a parlé à voix haute*

_Bon, je ne vais pas vous donner une occasion de me torturer, non plus...

*Ban prit une grande inspiration et eut une idée*

Je vais tellement me vanter qu'ils vont s'endormir avant que je n'arrive à la part importante !

_Bon... vous savez que je suis un être d'une extrême puissance, dieu, ange, démon... ange gardien de la terre... bref je suis un boss, quoi. Ce que vous venez de voir est un malaise du à un très haut lien psychique. Or pour que ce lien existe il faut que je repère la puissance d'un être qui soit à la fois plus puissant que moi... c'est à dire une de ces trois personnes : Naru et Kain... et avec qui j'ai un fort lien empathique. Ce qui exclut Naru... et Kain, vu que l'admiration que j'ai pour lui est une amitié dite de mal à mal et qu'elle ne convient pas au lien empathique. Ce qui rend ce signal si étrange. Bien sur je suis une des seules personnes dans l'univers qui... (vantardise à outrance pendant 20 minutes, bref on reçoit pas souvent ce genre d'appels) alors un appel venant de personne est assez troublant.

Est-ce qu'on peut dire que je leur ai caché que j'ai repéré Haku, que c'est le seul qui puisse détruire Naru et que cet appel peut venir du futur et du passé, mais sûrement pas du présent vu que j'ai aussi sentie la faible présence de Riku ? Ouais... mais on peut aussi dire que j'ai tenté de leur expliquer... non ? Si. Bon alors ça va.

De toute ma vie je ne me souviens avoir vu pareil endroit, il était donc incompréhensible que Riku Daupha, bien qu’elle eut beaucoup voyagée, mais que depuis quelques temps déjà restée confinée dans son vaste royaume sous-marin à s’occuper de traités et de contrats, ne soit pas curieuse de découvrir à quoi pouvait servir tous ce qui l’entourait. Droite et concentrée, elle ne semblait pas se rendre compte que la pièce dans laquelle elle venait de pénétrer ne ressemblait à aucune autre. L’intérieur de la chaumière conservait bien des secrets et objets.
C’était une large salle circulaire brillamment éclairée par un feu de cheminée et plusieurs bougies. C’était comme si le feu donnait l’aspect vivant, qu’elle avait de l’extérieur, à cette pièce. Comme si, à tous moments, si le feu venait à s’éteindre, la maison mourrait comme toutes les autres, et serrait envahis par la neige et les courageux rongeurs, survivants des tempêtes, qui si abritaient. De partout on pouvait voir des étagères rangées, dérangées, droites, tordues, mais de toutes évidences, toutes étaient faites pour contenir mainte et mainte volumes. Au dessus de la cheminée une énorme tête de bison offrait à la pièce un aspect brute et à la fois chaleureux. Un long canapé formant un cercle se chauffait près de la cheminée, en dessous de la tête de bison, et maladroitement, le bossu invita Riku à s’y asseoir. La jeune fille jeta un regard hautain au personnage et prit place dans le fauteuil tendre. Sa chaleur la soulagea quelques peu mais pas assez pour la faire sourire.
Le bossu s’avança vers Riku et dit en souriant de son sourire tordue :
- Je vais prévenir ma patronne de votre arrivé, installez-vous et mettez-vous à l’aise.
Il fit un dernier sourire comme pour s’assurer que Riku avait bien compris et se dirigea vers un porte à gauche de la cheminée.
Une fois qu’elle se retrouva seule, la jeune rousse, découvrit les couvertures qui entouraient le bébé, et vérifia du regard qu’il respirait encore. A son grand soulagement, c’était bien le cas. D’un regard neutre d’émotions et désintéressait, Riku contempla la pièce dans laquelle elle se trouvait. A ses yeux, rien de tous ceci n’avait grand intérêt, pas même cette petite boîte brune, semblant sortir des cendres qui se trouvait en face d’elle, sur le manteau de la cheminée. Mais pour Haku cette boîte avait beaucoup d’intérêt, et l’enfant ne se gêna pas pour le faire savoir. Il tendit les main vers cette dernière et émit de petit bruit, semblable à des gazouillement d’oisillons. Riku sursauta, d’abord surprise de voir le petit réveillé, mais aussi alertée par le bruit fracassant qui venait de surgir de derrière la porte par laquelle avait disparut le bossu. Un cri perçant survint alors à son tour et la voix d’une femme se mit à couvrir le hurlement. C’était une vois de femme enraillée qui manquait sincèrement de féminité et de jeunesse.
- Nicht von Gott, aber der mein im Eimer ähnlich es idiotisch?! Was ist es, das ich gut können an diese dumme Prinzessin verkaufen, die sich draußen geduldet, mich erhält aufrecht?!
Bien qu’ils eut étaient prononcés en allemand, Riku avait très bien compris les mots qu’elle venait d’entendre, et n’avait pas du tout appréciée l’outrage qu’avait hurlait cette femme à propos de son titre de princesse. Stupide Princesse ? Vraiment ?
Haku s’était tus et regardait celle qu’il prenait pour sa mère avec des yeux interloqués.
D’un pas impérial Riku se dirigea vers le panneau de bois et poussa la porte avec tellement de violence, qu’elle manqua de peu, de l’arracher de ses gons. Mais une fois qu’elle fut en face de la vieille femme, Riku ne trouva rien à dire, ou même à crier, en reproche à l’outrage. Elle resta plantée dans l’encadrement de la porte, une main posée sur celle-ci, Haku dans l’autre bras, et les yeux fixés de surprise sur ce qu’elle avait devant elle.

[Traduction de la phase allemande: Non de Dieu mais qui m'a fichu un pareil abruti?! Qu'est-ce que je vais bien pouvoir vendre à cette stupide princesse qui patiente dehors, moi maintenant?!]

*écoute tranquillement Ban parler puis dit*

Tu oublie que je suis a peu prés aussi puissant que toi, or un telle dégagement de puissance ne passe pas inaperçue.

*respire un coup*

Quelle potentiel phénoménale!!

_DEPUIS QUAND T'AS UN LIEN EMPATHIQUE AVEC HARU ??? t'as senti Riku aussi ???

...

...
*silence géné*

_me torturez pas, svp...

Pas besoin d'avoir un lien téléphatique spécifique, ta réaction ma mis sur la voie et il m'as suffit de chercher, pas beaucoup, on le rpére facilement.

Qu'en a Riku, je ne l'avait pas sentie au début mais maintenant je reconnait son aura, elle est en partis cacher par celle avec un immense potentiel.